Ce site personnel, construit pour le simple plaisir d'apprendre, sera utile aux amoureux d'aujourd hui et de demain de la Sardaigne, cette île centrale de la Méditerranée, berceau de tant de grandes civilisations. Je le dédie à tous les passionnés des livres que l'on referme avec plus de questions que de réponses, enfin il peut intéresser ceux qui comme moi essaient de pratiquer la libre pensée sans aucune limite fixée par d'autres qu'ils s'appellent parti, famille, religion ou patrie, avec comme seule contrainte, le respect de l'autre et de sa différence.

... ils se souviennent, au mois de mai, d'un sang rouge et noir, d'une révolution manquée qui faillit renverser l'histoire. Je me souviens surtout de ces moutons effrayés par la liberté s'en allant voter par millions pour l'ordre et la sécurité ...

  • le mythe de Sisyphe

    Selon Camus, le suicide est un signe de manque de force face au “rien”. Car même si la vie est une aventure sans signification absolue, elle vaut toujours la peine. Comme il n’y a rien d’autre que la vie elle-même, la vie devrait être vécue à son maximum afin de comprendre la signification de l’existence. Pour Camus, c’est aux hommes eux-mêmes de donner sens à la vie.
    Dans un monde soudainement dépourvu de l’illusion et de lumière, l’homme se sent comme un étranger. L’homme est isolé de toute logique, sans explication de l’existence, ce qui provoque chez lui une “angoisse existentielle”.
    Comment peut-on exister sans utilité ou signification? Comment peut-on créer du sens? Le Mythe de Sisyphe répond cette question en utilisant le célèbre mythe. Considérant le sort de Sisyphe, condamné à pousser une pierre au sommet d’une montagne, laquelle pierre retombe à chaque fois. Camus affirme qu’il est facile de déclarer son existence absurde et sans espoir. Il serait facile de croire que Sisyphe pourrait préférer la mort.
    La solution de Camus consiste à vivre l’absurde, ce qui signifie une absence totale d’espoir (qui n’est pas la même chose que le désespoir), une réflexion permanente (ce qui n’est pas la même chose que le renoncement), et une insatisfaction consciente (ce qui n’est pas la même chose que l’anxiété juvénile).

  • le nombre d'or 1,618

    Le nombre d'or (ou section dorée, proportion dorée, ou encore divine proportion) est une proportion, définie initialement en géométrie comme l'unique rapport a/b entre deux longueurs a et b telles que le rapport de la somme a + b des deux longueurs sur la plus grande (a) soit égal à celui de la plus grande (a) sur la plus petite (b) c'est-à-dire lorsque :

    ( a + b ) / a = a / b

    Il est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d'ordre mystique, comme une clé importante, particulièrement pour les critères de beauté et surtout d'harmonie.

  • une carte muette …
    Trois pays, Trois capitales.

  • les pays baltes :

    du Nord au Sud

    ESTONIE, capitale TALLIN

    LETTONIE, capitale RIGA

    LITUANIE, capitale VILNIUS

    un moyen mnémotechnique pour retenir : les pays dans l'ordre alphabétique



  • Butternut (en anglais).
    La doubeurre, en français, est une variété de courge musquée, une plante de la famille des cucurbitacées.
    Le nom français évoque le goût de cette courge, en particulier le velouté que sa texture permet d'obtenir en cuisine

  • schizophrène, schizophrénie

    La schizophrénie est une maladie psychiatrique complexe qui entraîne un handicap psychologique majeur et très invalidant. La schizophrénie est une psychose délirante chronique caractérisée par une discordance de la pensée, de la vie émotionnelle et du rapport au monde extérieur.

    Les symptômes positifs sont les plus visibles. Ce sont des idées délirantes, des hallucinations visuelles et auditives.

    Les symptômes négatifs : les malades sont sujets à un "émoussement affectif", une mise en retrait, une difficulté à amorcer les activités, une absence d'intérêt…

    Les symptômes dissociatifs sont des troubles de la communication : ils correspondent à une véritable désorganisation de la pensée, des émotions et des comportements. Résultats : ils se montrent hermétiques aux autres, utilisent des mots qui n'existent pas ou expriment des sentiments contradictoires dans une même phrase…

    Les symptômes cognitifs : dans 80% des cas, il y a une baisse de l'attention, une atteinte de la mémoire et des fonctions exécutrices.
    L'expression clinique de la schizophrénie est très hétérogène et tous les patients ne manifestent pas tous ces symptômes.

  • stoïcisme, l'Empereur Marc Aurèle, Senèque.

    Le stoïcisme est un courant philosophique occidental ayant pour finalité le bonheur de l'existence humaine obtenu grâce à une acceptation rationnelle de l'ordre du monde et de son évolution.

    Il repose notamment sur la distinction entre d'un côté les choses qui dépendent de nous et sur lesquelles nous devons concentrer nos efforts, et d'un autre côté les choses qui ne dépendent pas de nous, contre lesquelles il est vain de lutter et que nous devons au contraire supporter et accepter.

    Dans le langage courant, l'adjectif « stoïque » est utilisé pour désigner une personne inébranlable, qui parvient à rester fixée sur ses objectifs et ne s'effondre pas devant la peur, la douleur, le stress, les privations ou autres difficultés de l'existence.

  • mandora

    Une mandora est un croisement de mandarine et d'orange, cultivé à Chypre. On la prend facilement pour une clémentine, mais sa peau est plus dure et le fruit contient des graines. Le goût est plus acide que celui de la clémentine.